vendredi 30 octobre 2009
Chat Noirs en Italie
Tout les ans pendant la nuit d'halloween des chats noirs disparaissent...Les chats noirs sont liées soit disant au mal ou au sorcières...ridicule...Alors on les exterminent par superstitions ou pour des rites ésotériques, voire même parfois satanique...60 000 milles chats noirs disparaissent chaque année et le pic est pendant la fête d'halloween...Vous en pensez quoi????
La vieille dame
Il y a bien longtemps...
Marine était une jeune fille tout ce qu'il y a de plus charmant.
Elle était serviable envers tous ceux qui avaient besoin d'elle.
Depuis peu, elle aidait une de ces vieilles voisines qui ne pouvait plus se déplacer facilement.
Elle lui faisait ses courses.
Un soir, le 31 octobre pour être plus précis, elle alla chez cette dame pour lui apporter ses courses.
Voyant Marine transie de froid la vielle dame l'invita à boire une tasse de thé.
Pour la première fois Marine entrait dans la demeure de cette vieille dame.
D'habitude, elle allait directement mettre les courses dans un cagibi attenant à la maison.
Les meubles, vieux et sombres, étaient couverts de poussière ; de nombreux chats étaient couchés un peu partout.
Marine, mal à l'aise, eut l'impression qu'ils la fixaient du regard.
Une odeur âcre flottait dans chaque pièce, l'air était difficilement respirable.
La vieille dame convia Marine à s'asseoir sur un des rares fauteuils non occupé par un chat.
La dame partit dans la cuisine faire chauffer de l'eau pour le thé.
Marine en profita pour regarder tout autour d'elle.
Sur les murs étaient disposés des tableaux sombres représentants des paysages orageux, des gens miséreux.
Mais ce qui attira particulièrement l'attention de Marine, c'était toute une série de portraits de jeunes filles de son âge qui avaient l'air terrifiées ou alors d'une extrême tristesse.
De tous ces portraits se dégageaient une incroyable douleur.
La vieille revint au salon en portant un théière bouillante.
Marine se leva pour l'aider, elle saisit la théière et la posa sur la petite table.
La dame la remercia et s'assit.
Elle expliqua à Marine que le thé qu'elle avait préparé était à la cerise, que c'était sa défunte fille qui l'avait fait juste avant de mourir l'été dernier.
Le thé coula rouge comme du sang.
La vieille dame demanda à Marine de lui raconter ce qu'elle faisait de ses journées à part aider les vieilles personnes.
Marine commença à raconter qu'elle faisait de la danse, qu'elle chantait mais elle n'eut pas le temps de finir.
La vieille dame se leva et expliqua à Marine qu'elle aimait bien prendre en photo les jeunes filles qui venaient lui rendre visite.
Elle attrapa un petit appareil posé sur la commode derrière elle et le déposa à côté de sa tasse.
Elle incita Marine à boire son thé alors qu'elle lui parlait de ses petits-enfants qui ne s'occupaient jamais d'elle.
Marine porta à ses lèvres la tasse bouillante tout en écoutant les histoires de la vieille dame.
Le thé lui glissa dans la gorge.
Elle se mit alors à crier et à recracher son thé.
"Mais...mais c'est... c'est... du sang !" s'écria-t-elle
Elle devint alors livide lorsqu'elle vit le regard cruel de la vieille dame.
Celle-ci se leva et saisissant l'appareil photo dit d'une petite voix terrifiante :
"Enfin tu es à moi pour toujours !"
Elle prit en photo Marine qui s'écroula aussitôt.
La vieille dame développa la photo et la mit avec les autres portraits.
Elle venait de lui voler son âme et l'avait enfermée dans le portrait.
La vieille dame attrapa le corps de Marine et l'emmena dans une pièce fermée à côté de sa chambre, elle l'assit sur une chaise au milieu de tous les autres, et elle dit alors d'une voix nasillarde :
"A la prochaine" et elle disparut comme par enchantement.
C'est ainsi que chaque 31 octobre, des centaines de jeunes filles disparurent et ce pour encore des centaines d'années.
dimanche 25 octobre 2009
Le Violoniste et Le Château Hanté
ll était une fois, dans un pays où les hivers sont beaux comme dans les contes de fées, un enfant musicien. Il avait de toutes petites mains, mais il jouait si bien que tous les princes et les seigneurs de la ville l'invitaient dans leurs salons pour l'entendre jouer du violon.
Quand il jouait, les oiseaux s'arrêtaient de chanter, la neige de tomber, les enfants de se disputer, les grincheux de ronchonner. Et, quand il achevait son morceau, tous ceux qui l'avaient écouté étaient joyeux comme si plus rien d'ennuyeux ne pouvait exister au monde. Dans cette même ville, vivait un riche seigneur qui habitait un palais hanté par des créatures étranges : des fantômes qui, chaque nuit, venaient danser dans son salon, et faisaient tant de bruit que le pauvre homme ne pouvait plus dormir, et que tous ses amis, effrayés, ne venaient plus lui rendre visite.
Il se sentait donc seul et abandonné dans son beau palais hanté.
Un jour, il entendit parler de l'enfant musicien qui effaçait les ennuis sur son chemin et il lui écrivit une lettre en forme de poème :
"S'il te plaît, petit garçon, viens jouer dans ma maison, pour chasser les cent démons qui dansent dans mon salon".
Après avoir lu cette lettre, l'enfant saisit son violon et, malgré le froid et la neige qui régnaient à ce moment là sur la ville, se mit à chercher cet étrange palais hanté.
Il marcha toute la journée, dans toutes les ruelles. Il se trompa bien des fois de porte. On lui indiqua bien souvent le mauvais chemin. Mais il finit tout de même par arriver chez le seigneur à la tombée de la nuit.
Le seigneur l'installa dans une chambre confortable où flambait un grand feu, et lui dit :
- Je te remercie d'être venu ! A présent, repose-toi un peu... Mais tu verras : les fantômes font un tel charivari que je serais bien surpris si tu arrivais à fermer l'œil de la nuit.
Le petit garçon se coucha et, comme il était très fatigué de sa longue marche, il s'endormit profondément. Au milieu de la nuit, un épouvantable bruit le réveilla. Le seigneur n'avait pas menti : c'était un vrai charivari ! Alors l'enfant se leva, pris son violon et descendit au salon...
Quand il fut en bas, il ne put en croire ses yeux : des dizaines de fantômes dansaient, couraient, faisaient des sauts et des cabrioles sur les tapis et sur les meubles. Mais il piétinait sans musique en chantant de leur voix grinçante.
Tout cela donnait un bal étrange, plein de cris, de ricanements, de gloussements, de craquements...
Le petit garçon eut alors une idée. Pour obtenir le silence, il frappa de son archet le manche de son violon et cria :
- qu'est-ce qu'un bal sans musique ? Qu'est ce que c'est que cette chanson sans violon ? Si vous voulez vous amuser, vous feriez mieux de m'écouter..
Tous les fantômes se regardèrent d'un air étonné. Puis ils se mirent à parler tout ensemble pour savoir ce qu'ils devaient décider. Ils tinrent conseil un long moment et, à la fin, ils déclarèrent :
- montre-nous ce que tu sais faire !
L'enfant musicien installa son violon sous son menton, et se mit à jouer une danse entraînante. Mais les fantômes refusèrent de bouger. Ils dirent en traînant les pieds :
- pour danser cette danse effrénée, il nous faudrait reprendre des forces, et nous n'avons rien à manger !
Aussitôt, le petit garçon alla frapper à la porte de la chambre du seigneur. Celui-ci apparut en baillant :
- encore ce charivari ?
Mais le petit garçon expliqua :
- il faudrait donner à manger à ces drôles d'invités !
Le seigneur se fit un peu prier, car il n'avait plus de serviteurs, ni de cuisiniers. Ils s'étaient tous enfuis, l'un après l'autre, nuit après nuit... Malgré tout, il obéit. Il fit cuire de grands rôtis, des légumes, des pâtes et du riz. Il fit même de grands gâteaux aux noix et aux pruneaux. Enfin, il servit tout cela aux fantômes, avec toutes sortes de bons sirops.
Quand ceux-ci se furent bien régalés, le petit garçon recommença à jouer. Mais ils avaient trop mangé, et se sentaient trop lourds pour danser.
- joue-nous donc une berceuse, dit l'un d'entre eux.
L'enfant joua alors un air très doux, et les fantômes s'endormirent. Le seigneur n'était pas content. Il s'écria
- ils vont s'installer chez moi encore plus confortablement qu'autrefois !
D'un geste, le petit garçon lui fit signe de se taire. Il laissa les petits monstres ronfler encore un moment, puis il reprit son violon, et joua à nouveau un air très entraînant. Les fantômes se réveillèrent en sursaut. Irrésistiblement entraînés, ils formèrent une farandole dans tous les couloirs du palais...
- ouvrez la porte qui donne sur le jardin !
Et le seigneur s'exécuta...
Malgré l'hiver et le froid, il repoussa les portes et les fenêtres de son palais, tandis que l'enfant jouait. Alors, la drôle de farandole s'élança dans le jardin. Dansant et sursautant dans la neige, les fantômes contournèrent les bassins. Ils s'amusaient tellement qu'ils se jetèrent dedans, et se mirent à danser dans l'eau en criant des "ah" et des "oh".
Quand ils eurent tous plongés, l'enfant s'arrêta de jouer, et la neige se remit à tomber. Il fit de plus en plus froid. L'eau des bassins gela, et tous les fantômes se trouvèrent pris dans les glaces.
Dans le jardin couvert de neige, au milieu des bassins gelés, ils étaient devenus d'étranges statues, prêtes à lancer des jets d'eau vers le ciel lorsque viendrait le dégel.
Fou de joie, le seigneur prit l'enfant dans ses bras et lui dit :
- tu as délivré mon palais des fantômes qui le hantaient. Je vais enfin pouvoir rassurer mes amis ! Ils reviendront me voir ici...Et c'est exactement ce qui se passa, dans la joie et le brouhaha. Tout le monde fit un grand festin et s'amusa jusqu'au lendemain matin.
Quand le soleil se leva, l'enfant musicien, de toutes ses petites mains, joua un air si mélodieux que les danseurs s'arrêtèrent pour l'écouter mieux. Puis, à la fin du morceau, salué par les bravos, il reprit son chemin.
Les oiseaux se remirent à chanter.
La neige se mit à tomber... Mais il faut croire que le violon du petit garçon laissa derrière lui comme un nuage de magie car, longtemps, dans ce pays, les enfants oublièrent de se disputer, et les grincheux de ronchonner, comme si rien d'ennuyeux ne pouvait plus arriver.
Texte : Claude Clément.
vendredi 9 octobre 2009
La nuit d'Halloween le 31 octobre, la veille de la Toussaint,toutes les âmes et les esprits surnaturels sortent de leurs repaires pour se mêler aux vivants et fêter l'Halloween. Revenants, sorcières, ogres et nains envahissent la nuit.
Vers le IX siècle avant J.C. la nouvelle année Celte se célébrait le 1er Novembre. Pendant la nuit du 31 octobre au 1er Novembre, Lutins, Démons, Fantômes et vivants se mélangeaient pour célébrer l'engrangement des récoltes en festoyant autour d'un grand feu. Les cérémonies rendaient hommage en quelques sorte au Dieu de la mort avant que le grand Froid n'arrive.
La nuit du 1er Novembre devint la fête des Mort,à l'arrivée du Christianisme.En anglais All Hallow's Even, l'expression s'est peu à peu transformé en Halloween.La fête a un peu évolué et maintenant destinée aux enfants qui aiment se déguisaient en sorcières, lutins ect...Ils viendront frapper à vos portes pour quémander des friandises alors n'oublier pas...
A l'époque pour échapper au sortilèges les hommes se déguisaient en fantômes, les femmes en sorcières et les enfants en chat noirs ou en lutins.Les lanternes, accrochées aux portes, devaient guidés tout les esprits de la nuit.
dimanche 4 octobre 2009
Magiques éclipses
Tandis que la terre se déplace sur une orbite autour du Soleil(l'écliptique), la lune se déplace autour de notre planète.Les noeuds lunaires correspondent au moment où la lune traverse l'orbite de la Terre autour du Soleil, une fois en montant(noeuds lunaire ascendant).Ces noeuds lunaires sont sources de perturbation pour les êtres vivants et l'on conseille de ne rien faire de délicat à ces moments-là!
Les éclipses se produisent lorsque la terre, Lune et Soleil sont alignés sur l'écliptique, c'est à dire sur l'orbite que la Terre décrit autour du soleil.Si la Lune passe devant le Soleil au moment d'une nouvelle lune, il s'agit d'une éclipse de Soleil.Si c'est la Terre qui passe au moment de la Pleine Lune, alors il s'agit d'une éclipse de Lune.
Les éclipses peuvent être partielles quand les disques des astres sont légèrement décalés, totales si les disques se superposent exactement, annulaires si la lune ne cache pas totalement le Soleil. Elles constituent de formidables spectacles, les yeux bien protégés par des lunettes spéciales dans certains cas, mais sont considérées comme des moment perturbants pour les êtres vivants.Mieux vaut à ces moments-là ne rien entreprendre de particulier non plus !