mardi 10 novembre 2009
La Destruction
Sans cesse à mes côtés s'agite le Démon;
II nage autour de moi comme un air impalpable;
Je l'avale et le sens qui brûle mon poumon
Et l'emplit d'un désir éternel et coupable.
Parfois il prend, sachant mon grand amour de l'Art,
La forme de la plus séduisante des femmes,
Et, sous de spécieux prétextes de cafard,
Accoutume ma lèvre à des philtres infâmes.
II me conduit ainsi, loin du regard de Dieu,
Haletant et brisé de fatigue, au milieu
Des plaines de l'Ennui, profondes et désertes,
Et jette dans mes yeux pleins de confusion
Des vêtements souillés, des blessures ouvertes,
Et l'appareil sanglant de la Destruction!
Charles Baudelaire (1821- 1867)
vendredi 6 novembre 2009
Traduction : No Dream Can Heal a Broken Heart
Il semble que mon rêve ne survive pas aux matins
Mon seul et unique but …
Je t'entends … respirer … Je ne suis pas seul dans les ténèbres
Je sens … quelque chose sur mes lèvres qui ne devrait pas y être …
Trop de baisers empoisonnés
Et je me noie dans ta mer la plus profonde
J'ai trouvé mon objectif, ce pour quoi je suis ici …
Je frappe à la porte de mon paradis
Un jour nous gâcherons nos lendemains
Et ‘hier’ deviendra la matière dont nos rêves sont faits …
Jusqu'à aujourd'hui, j'ai vécu dans le monde de l'ombre
Maintenant c’est le cœur qui parle, le cerveau étant en défaite,
La pensée libre est effacée …
Trop de baisers empoisonnés
Et je me noie dans ta mer la plus profonde
J'ai trouvé mon destin, ce pourquoi je suis ici …
Je frappe à la porte de mon paradis
Et la carte où trouver mes souhaits endormis
Est cachée quelque part où je ne peux la voir
Lorsque je suis réveillé, j'ai besoin de tes baisers empoisonnés
Pour retomber dans un rêve vivant …
« Pourquoi as-tu peur de rêver de mon amour, s'il te plait sois forte.
Si ton cœur peut entendre une chanson, tu ne peux te tromper ... »
« Alors repose ta confiance en moi, sauve cet amour, vis et vois
Si la vie au delà de ce rêve est ce que tu cherches... »
« Accomplis tes désirs les plus profonds,
Viens prendre mes baisers empoisonnés
La vie est trop courte, cette heure dorée dure autant qu’une vie ... »
Donne moi ton baiser empoisonné,
Maintenant, que la nuit vienne, j'ai besoin de mon souhait endormi
Aide moi à rêver de nouveau, d'une certaine façon embrasse moi maintenant
Avec tes lèvres empoisonnées
Oh, viens nuit, je veux mon souhait manquant
Aide moi à obtenir un baiser, peu importe comment
Serre moi dans tes bras maintenant
Aucun rêve ne peut guérir un cœur brisé …
Quand nous sommes séparés …
Le Yin et Le Yang
Tout peut-être classé selon la théorie du Yin et du Yang. Le féminin est Yin et le masculin est Yang. La nuit est Yin, le jour est Yang, la faiblesse est Yin et la force est Yang. Le concept du Yin et du Yang symbolise les deux forces opposées présentes en chaque être vivant.
La ligne Harmonieuse qui les sépare indique qu'ils interagissent sans heurts et efficacement. Le Yang extrême faiblit et évolue en Yin d'abord faible, puis en Yin extrême avant de devenir, à son tour Yang. L'un évolue en l'autre et vice et versa, continuellement, sans interruption. L e Yin, à son apogée se transmute en Yang. Le Yang à son apogée se transmute en Yin. Résultat la nuit succède au jour, le froid au chaud, le repli sur soi à l'extaversion, et la Mort à la Vie.
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dimanche 1 novembre 2009
Signification du Pentacle
vendredi 30 octobre 2009
Chat Noirs en Italie
Tout les ans pendant la nuit d'halloween des chats noirs disparaissent...Les chats noirs sont liées soit disant au mal ou au sorcières...ridicule...Alors on les exterminent par superstitions ou pour des rites ésotériques, voire même parfois satanique...60 000 milles chats noirs disparaissent chaque année et le pic est pendant la fête d'halloween...Vous en pensez quoi????
La vieille dame
Il y a bien longtemps...
Marine était une jeune fille tout ce qu'il y a de plus charmant.
Elle était serviable envers tous ceux qui avaient besoin d'elle.
Depuis peu, elle aidait une de ces vieilles voisines qui ne pouvait plus se déplacer facilement.
Elle lui faisait ses courses.
Un soir, le 31 octobre pour être plus précis, elle alla chez cette dame pour lui apporter ses courses.
Voyant Marine transie de froid la vielle dame l'invita à boire une tasse de thé.
Pour la première fois Marine entrait dans la demeure de cette vieille dame.
D'habitude, elle allait directement mettre les courses dans un cagibi attenant à la maison.
Les meubles, vieux et sombres, étaient couverts de poussière ; de nombreux chats étaient couchés un peu partout.
Marine, mal à l'aise, eut l'impression qu'ils la fixaient du regard.
Une odeur âcre flottait dans chaque pièce, l'air était difficilement respirable.
La vieille dame convia Marine à s'asseoir sur un des rares fauteuils non occupé par un chat.
La dame partit dans la cuisine faire chauffer de l'eau pour le thé.
Marine en profita pour regarder tout autour d'elle.
Sur les murs étaient disposés des tableaux sombres représentants des paysages orageux, des gens miséreux.
Mais ce qui attira particulièrement l'attention de Marine, c'était toute une série de portraits de jeunes filles de son âge qui avaient l'air terrifiées ou alors d'une extrême tristesse.
De tous ces portraits se dégageaient une incroyable douleur.
La vieille revint au salon en portant un théière bouillante.
Marine se leva pour l'aider, elle saisit la théière et la posa sur la petite table.
La dame la remercia et s'assit.
Elle expliqua à Marine que le thé qu'elle avait préparé était à la cerise, que c'était sa défunte fille qui l'avait fait juste avant de mourir l'été dernier.
Le thé coula rouge comme du sang.
La vieille dame demanda à Marine de lui raconter ce qu'elle faisait de ses journées à part aider les vieilles personnes.
Marine commença à raconter qu'elle faisait de la danse, qu'elle chantait mais elle n'eut pas le temps de finir.
La vieille dame se leva et expliqua à Marine qu'elle aimait bien prendre en photo les jeunes filles qui venaient lui rendre visite.
Elle attrapa un petit appareil posé sur la commode derrière elle et le déposa à côté de sa tasse.
Elle incita Marine à boire son thé alors qu'elle lui parlait de ses petits-enfants qui ne s'occupaient jamais d'elle.
Marine porta à ses lèvres la tasse bouillante tout en écoutant les histoires de la vieille dame.
Le thé lui glissa dans la gorge.
Elle se mit alors à crier et à recracher son thé.
"Mais...mais c'est... c'est... du sang !" s'écria-t-elle
Elle devint alors livide lorsqu'elle vit le regard cruel de la vieille dame.
Celle-ci se leva et saisissant l'appareil photo dit d'une petite voix terrifiante :
"Enfin tu es à moi pour toujours !"
Elle prit en photo Marine qui s'écroula aussitôt.
La vieille dame développa la photo et la mit avec les autres portraits.
Elle venait de lui voler son âme et l'avait enfermée dans le portrait.
La vieille dame attrapa le corps de Marine et l'emmena dans une pièce fermée à côté de sa chambre, elle l'assit sur une chaise au milieu de tous les autres, et elle dit alors d'une voix nasillarde :
"A la prochaine" et elle disparut comme par enchantement.
C'est ainsi que chaque 31 octobre, des centaines de jeunes filles disparurent et ce pour encore des centaines d'années.
dimanche 25 octobre 2009
Le Violoniste et Le Château Hanté
ll était une fois, dans un pays où les hivers sont beaux comme dans les contes de fées, un enfant musicien. Il avait de toutes petites mains, mais il jouait si bien que tous les princes et les seigneurs de la ville l'invitaient dans leurs salons pour l'entendre jouer du violon.
Quand il jouait, les oiseaux s'arrêtaient de chanter, la neige de tomber, les enfants de se disputer, les grincheux de ronchonner. Et, quand il achevait son morceau, tous ceux qui l'avaient écouté étaient joyeux comme si plus rien d'ennuyeux ne pouvait exister au monde. Dans cette même ville, vivait un riche seigneur qui habitait un palais hanté par des créatures étranges : des fantômes qui, chaque nuit, venaient danser dans son salon, et faisaient tant de bruit que le pauvre homme ne pouvait plus dormir, et que tous ses amis, effrayés, ne venaient plus lui rendre visite.
Il se sentait donc seul et abandonné dans son beau palais hanté.
Un jour, il entendit parler de l'enfant musicien qui effaçait les ennuis sur son chemin et il lui écrivit une lettre en forme de poème :
"S'il te plaît, petit garçon, viens jouer dans ma maison, pour chasser les cent démons qui dansent dans mon salon".
Après avoir lu cette lettre, l'enfant saisit son violon et, malgré le froid et la neige qui régnaient à ce moment là sur la ville, se mit à chercher cet étrange palais hanté.
Il marcha toute la journée, dans toutes les ruelles. Il se trompa bien des fois de porte. On lui indiqua bien souvent le mauvais chemin. Mais il finit tout de même par arriver chez le seigneur à la tombée de la nuit.
Le seigneur l'installa dans une chambre confortable où flambait un grand feu, et lui dit :
- Je te remercie d'être venu ! A présent, repose-toi un peu... Mais tu verras : les fantômes font un tel charivari que je serais bien surpris si tu arrivais à fermer l'œil de la nuit.
Le petit garçon se coucha et, comme il était très fatigué de sa longue marche, il s'endormit profondément. Au milieu de la nuit, un épouvantable bruit le réveilla. Le seigneur n'avait pas menti : c'était un vrai charivari ! Alors l'enfant se leva, pris son violon et descendit au salon...
Quand il fut en bas, il ne put en croire ses yeux : des dizaines de fantômes dansaient, couraient, faisaient des sauts et des cabrioles sur les tapis et sur les meubles. Mais il piétinait sans musique en chantant de leur voix grinçante.
Tout cela donnait un bal étrange, plein de cris, de ricanements, de gloussements, de craquements...
Le petit garçon eut alors une idée. Pour obtenir le silence, il frappa de son archet le manche de son violon et cria :
- qu'est-ce qu'un bal sans musique ? Qu'est ce que c'est que cette chanson sans violon ? Si vous voulez vous amuser, vous feriez mieux de m'écouter..
Tous les fantômes se regardèrent d'un air étonné. Puis ils se mirent à parler tout ensemble pour savoir ce qu'ils devaient décider. Ils tinrent conseil un long moment et, à la fin, ils déclarèrent :
- montre-nous ce que tu sais faire !
L'enfant musicien installa son violon sous son menton, et se mit à jouer une danse entraînante. Mais les fantômes refusèrent de bouger. Ils dirent en traînant les pieds :
- pour danser cette danse effrénée, il nous faudrait reprendre des forces, et nous n'avons rien à manger !
Aussitôt, le petit garçon alla frapper à la porte de la chambre du seigneur. Celui-ci apparut en baillant :
- encore ce charivari ?
Mais le petit garçon expliqua :
- il faudrait donner à manger à ces drôles d'invités !
Le seigneur se fit un peu prier, car il n'avait plus de serviteurs, ni de cuisiniers. Ils s'étaient tous enfuis, l'un après l'autre, nuit après nuit... Malgré tout, il obéit. Il fit cuire de grands rôtis, des légumes, des pâtes et du riz. Il fit même de grands gâteaux aux noix et aux pruneaux. Enfin, il servit tout cela aux fantômes, avec toutes sortes de bons sirops.
Quand ceux-ci se furent bien régalés, le petit garçon recommença à jouer. Mais ils avaient trop mangé, et se sentaient trop lourds pour danser.
- joue-nous donc une berceuse, dit l'un d'entre eux.
L'enfant joua alors un air très doux, et les fantômes s'endormirent. Le seigneur n'était pas content. Il s'écria
- ils vont s'installer chez moi encore plus confortablement qu'autrefois !
D'un geste, le petit garçon lui fit signe de se taire. Il laissa les petits monstres ronfler encore un moment, puis il reprit son violon, et joua à nouveau un air très entraînant. Les fantômes se réveillèrent en sursaut. Irrésistiblement entraînés, ils formèrent une farandole dans tous les couloirs du palais...
- ouvrez la porte qui donne sur le jardin !
Et le seigneur s'exécuta...
Malgré l'hiver et le froid, il repoussa les portes et les fenêtres de son palais, tandis que l'enfant jouait. Alors, la drôle de farandole s'élança dans le jardin. Dansant et sursautant dans la neige, les fantômes contournèrent les bassins. Ils s'amusaient tellement qu'ils se jetèrent dedans, et se mirent à danser dans l'eau en criant des "ah" et des "oh".
Quand ils eurent tous plongés, l'enfant s'arrêta de jouer, et la neige se remit à tomber. Il fit de plus en plus froid. L'eau des bassins gela, et tous les fantômes se trouvèrent pris dans les glaces.
Dans le jardin couvert de neige, au milieu des bassins gelés, ils étaient devenus d'étranges statues, prêtes à lancer des jets d'eau vers le ciel lorsque viendrait le dégel.
Fou de joie, le seigneur prit l'enfant dans ses bras et lui dit :
- tu as délivré mon palais des fantômes qui le hantaient. Je vais enfin pouvoir rassurer mes amis ! Ils reviendront me voir ici...Et c'est exactement ce qui se passa, dans la joie et le brouhaha. Tout le monde fit un grand festin et s'amusa jusqu'au lendemain matin.
Quand le soleil se leva, l'enfant musicien, de toutes ses petites mains, joua un air si mélodieux que les danseurs s'arrêtèrent pour l'écouter mieux. Puis, à la fin du morceau, salué par les bravos, il reprit son chemin.
Les oiseaux se remirent à chanter.
La neige se mit à tomber... Mais il faut croire que le violon du petit garçon laissa derrière lui comme un nuage de magie car, longtemps, dans ce pays, les enfants oublièrent de se disputer, et les grincheux de ronchonner, comme si rien d'ennuyeux ne pouvait plus arriver.
Texte : Claude Clément.
vendredi 9 octobre 2009
La nuit d'Halloween le 31 octobre, la veille de la Toussaint,toutes les âmes et les esprits surnaturels sortent de leurs repaires pour se mêler aux vivants et fêter l'Halloween. Revenants, sorcières, ogres et nains envahissent la nuit.
Vers le IX siècle avant J.C. la nouvelle année Celte se célébrait le 1er Novembre. Pendant la nuit du 31 octobre au 1er Novembre, Lutins, Démons, Fantômes et vivants se mélangeaient pour célébrer l'engrangement des récoltes en festoyant autour d'un grand feu. Les cérémonies rendaient hommage en quelques sorte au Dieu de la mort avant que le grand Froid n'arrive.
La nuit du 1er Novembre devint la fête des Mort,à l'arrivée du Christianisme.En anglais All Hallow's Even, l'expression s'est peu à peu transformé en Halloween.La fête a un peu évolué et maintenant destinée aux enfants qui aiment se déguisaient en sorcières, lutins ect...Ils viendront frapper à vos portes pour quémander des friandises alors n'oublier pas...
A l'époque pour échapper au sortilèges les hommes se déguisaient en fantômes, les femmes en sorcières et les enfants en chat noirs ou en lutins.Les lanternes, accrochées aux portes, devaient guidés tout les esprits de la nuit.
dimanche 4 octobre 2009
Magiques éclipses
Tandis que la terre se déplace sur une orbite autour du Soleil(l'écliptique), la lune se déplace autour de notre planète.Les noeuds lunaires correspondent au moment où la lune traverse l'orbite de la Terre autour du Soleil, une fois en montant(noeuds lunaire ascendant).Ces noeuds lunaires sont sources de perturbation pour les êtres vivants et l'on conseille de ne rien faire de délicat à ces moments-là!
Les éclipses se produisent lorsque la terre, Lune et Soleil sont alignés sur l'écliptique, c'est à dire sur l'orbite que la Terre décrit autour du soleil.Si la Lune passe devant le Soleil au moment d'une nouvelle lune, il s'agit d'une éclipse de Soleil.Si c'est la Terre qui passe au moment de la Pleine Lune, alors il s'agit d'une éclipse de Lune.
Les éclipses peuvent être partielles quand les disques des astres sont légèrement décalés, totales si les disques se superposent exactement, annulaires si la lune ne cache pas totalement le Soleil. Elles constituent de formidables spectacles, les yeux bien protégés par des lunettes spéciales dans certains cas, mais sont considérées comme des moment perturbants pour les êtres vivants.Mieux vaut à ces moments-là ne rien entreprendre de particulier non plus !
mardi 29 septembre 2009
jeudi 17 septembre 2009
Depuis hier nous sommes bien triste car Poumb'a est mort.Notre chien nous a quitté.Il était tombé malade.Et hier je l'ai retrouvé sans vie dans son panier.Ce toutou nous avait consacré sa vie.Il était toujours là pour veiller sur nous, nous défendre mais aujourd'hui il n'est plus là et c'est en pleurant que j'écris cette article.Il était vraiment unique avec son petit air toujours malheureux même quand il faisait le con.Il avait 13 ans.On l'avait récupérer à l'âge de deux mois.Même hier quand je l'ai retrouvé il avait les oreilles en arrière comme quand il était content.Il est partit dans son sommeil.Aurait-il vu quelque chose qui lui faisait plaisir.Même dans sa propre mort il est partit sans peur comme ça.Hier matin il a dit "au revoir" à max à sa façon.Et la veille de sa mort en remontant à l'étage il me regardait bizarrement comme si il savait qu'il allait nous quitterVoilà aujourd'hui nous sommes bien triste et on oubliera jamais Poumb'a, il restera toujours dans nos coeurs et nos tête...Adieu Poumb'a repose en paix notre toutou....
mercredi 16 septembre 2009
Patrick Swayze nous a quitté hier...Voilà un petit extrait de "Ghost" un film qui m'a émue aux larmes et même encore aujourd'hui...Et n'oublions pas "Darty Dancing",un film magnifique ,émouvant...qu'est-ce que j'ai pu danser sur cette musique au milieu de mon salon...(n'oubliez pas de mettre le lecteur musique en pause).
mardi 15 septembre 2009
Lune et Soleil, symbolisant la dualité (entre la lumière et l'obscurité, la nuit et le jour, la femme et l'homme...), entretiennent des relations plus ou moins conflictuelles selon les cultures. Sans la lumière du mâle Soleil, la Lune et le Soleil forment un couple lumineux, chacun étant la moitié d'un tout. Elle est Yin et il est Yang. Elle est passive et réceptive tandis que le Soleil est actif et émissif.
Elle est l'eau alors qu'il est le feu. Elle est le froid et lui, la chaleur. Elle est nord et hiver par rapport au sud et à l'été.
La Lune est symbolique des forces obscures de l'inconscient...Elle rayonne d'une aura de mystère, de danger, de fascination ! La Lune symbolise l'âme alors que le Soleil symbolise l'esprit. La Lune apparaît aussi comme symbole de la connaissance par reflet, c'est à dire de la connaissance indirecte, théorique, conceptuelle. Mais c'est aussi à la Lune que les homme confient leurs angoisses profondes, celles qu'ils cachent sous la lumière plus virile du Soleil. Muse des poètes, la Lune ouvres les portes de la sensibilité, de l'émotion, du rêve, de l'espoir...ou du désespoir...Elle devient symbole de l'impossible, de l'inaccessible : en attestent des expressions comme "prendre la lune avec les dents", ancienne formulation signifiant tenter l'impossible, ou "décrocher la lune" ou bien encore "demander la lune"!
jeudi 10 septembre 2009
Lilith, la lune-noire Lilith serait-elle à l’oeuvre? |
mardi 8 septembre 2009
dimanche 6 septembre 2009
Pendant nos vacances nous sommes descendu voir doudou...Vraiment une belle rencontre et comme quoi le virtuel peut faire rencontrer vraiment des personnes sympa.On a passé une excellente journée et l'apéro s'est prolongé vu que max n'est vraiment pas un pro du barbecue et que nous avons manger à 15h30.Mais on lui pardonne.lol...Ensuite nous avons rendu visite à Josiane(Tachka) et ces animaux.Aussi une trés belle rencontre...Voilà nous avons vraiment été ravis de les rencontrer toutes les deux...
lundi 27 juillet 2009
Après le XVII° siècle , la messe noire est périodiquement revenue d'actualité , souvent dans les milieux de gens assez snobs à la recherche de sensations nouvelles . Tel fut le cas des fameux HELL FIRE CLUBS ( Club des feux de l'enfer ) d'angleterre . Leurs membres étaient en général de jeunes gentlmen qui flirtaient avec le satanisme , et dont les réunions avaient pour but de s'amuser de façon obscène et blasphématoire . Il s'en créa un certain nombre en Angleterre , en Ecosse et en Irlande , mais le principal se réunissait dans les résidences les plus élégantes de Londres vers 1720 .
30 ans plus tard , une douzaine de jeunes riches et dépravés se constituèrent en une fraternité de "moines sacrilèges" . Ils se réunissaient deux fois par mois dans la salle capitulaire - remise à neuf par leur soins - de Medmenham Abbey , sur le cours supérieur de la Tamise . Seuls 7 membres en ont été formellement identifiés , parmi lequel le fils scandaleux de l'archevêque de Canterbury et Sir Francis DASHWOOD , qui louait l'abbaye et devint le premier abbé de l'ordre .
Au fronton de la salle capitulaire , une citation de RABELAIS se voit encore : Fay ce que voudrais . Les murs étaient couverts d'ouvrages salaces en guise de manuel depiété et la galerie des moines possédait une rare collection d'oeuvres pornographiques . Des chefs réputés leurs préparaient des plats exotiques et l'on faisait venir des filles de Londres pour satisfaire d'autres appétits .
Lors de leurs cérémonies , les moines sacrifiaient à BACCHUS , dieu de l'ivresse et à VENUS , déesse de l'amour , et probablement au DIABLE , sans qu'on ait bien su a quel degré ce culte était sérieux . On prétend que l'un des moines lâcha une fois un babouin en pleine célébration de messe noire .........
Cette issue de l'affaire était sans doute inévitable . depuis des siècles , sorcières et hérétiques avaient été accusés de sacrifices d'enfants au démon , d'ailleurs sans que des preuves formelles en aient jamais été apportées . Alors , quand des personnes sans scrupules tentèrent vraiment l'aide du DIABLE , la logique voulut qu'elle le fissent dans les règles fixèes par les racontars des chasseurs de sorcières . ROSSELL HOPE ROBBINS , qui se consacra à démythifier ces croyances populaires , fait remarquer que l'affaire de la chambre ardente est probablement le seul cas de sorcellerie où le jugement ait été fondé sur quelques éléments de preuves formelles et non sur les phantasmes de jeunes névrosées ou sur la logique morbide des juges et d'inquisiteurs pervertis .
Dans une histoire aussi riche en incidents fantastiques , il est étrange de constater que les rituels d'infanticides et les appels aux puissances infernales aient semblé couronnés de succès , pendant de nombreuses années au moins .
Sans doute les philtres d'amour et leurs aphrodisiaques y jouaient -ils un rôle . Mais les théories modernes sur la puissance de la pensée - malveillante surtout - donnent à penser qu'une focalisation de la volonté aussi intense que celle qui se produit lors d'une messe noire pourrait bien avoir le pouvoir d'agir sur l'esprit d'autrui .......
vendredi 24 juillet 2009
mardi 21 juillet 2009
mardi 7 juillet 2009
jeudi 2 juillet 2009
Sur la face sud-ouest de la montagne du Dörnberg s'élève un rocher de basalt, sans aucune végétation, ayant de façon surprenante la forme d'une petite église, que les gens des environs appellent "Wichtelkirche" : "Eglise des Nains". Pourquoi ?
Il y a très longtemps vivait au coeur de la montagne un important peuple de nains avec, à sa tête, un roi. Au cours d'une promenade sur la pente de la montagne, le roi aperçut un jour une très jolie jeune fille. Les jours suivants, il refit la même promenade, dans l'espoir de la revoir et, enfin, son désir fut exaucé : il revit la jeune Gotelind qui cueillait des fleurs dans une prairie au pied de la montagne. Au bout d'un moment, elle s'étendit dans l'herbe fraîche pour se reposer, et s'endormit.
Alors le roi des nains prit l'apparence d'un homme de taille normale, s'assit à côté d'elle et, à son réveil, l'embrassa tendrement en lui avouant son amour. Il ne lui cacha pas qu'il était le roi des nains, et lui promit beaucoup d'or et d'argent, ainsi qu'une couronne de diamants, si... elle acceptait de devenir son épouse.
Gotelind ne croyait guère ces paroles tellement inattendues et, malgré toutes les richesses qu'il lui promettait, malgré la splendeur du monde dans lequel elle pourrait vivre, elle refusa ce mariage, sa principale excuse étant de ne pouvoir se lier à un homme qui n'aurait pas la même religion qu'elle.
" C'est vrai, je ne vénère pas les mêmes dieux que toi. Mais, si c'est vraiment la seule raison de ton refus, je veux bien demander à un prêtre de nous donner sa bénédiction dans une église." dit le roi.
Alors la jeune fille accepta le mariage. On décida d'un lieu, d'une date pour la grande fête. Ce serait durant la nuit de la Saint-Jean, dans une chapelle que les nains allaient construire très vite et décorer somptueusement.
La Saint-Jean arriva. La pleine lune inondait de sa lumière argentée un magnifique paysage fleuri dans lequel s'élevait la merveilleuse petite église. A l'intérieur des fleurs, des cierges, des flambeaux, et surtout une musique tout aussi merveilleuse, des mélodies émouvantes. Le couple fit une entrée solennelle dans la chapelle.
Cependant, malgré toute cette beauté, le coeur de la jeune fille s'emplissait d'inquiétude, de peur, car tout lui paraissait sans âme.
Et lorsque le prêtre lui demanda de prononcer le OUI qui la rendrait reine, elle dit NON dans un gémissement.
A cet instant précis, un coup de tonnerre effroyable emplit l'église, des éclairs sillonnèrent le ciel, un vent violent se leva, les lumières s'éteignirent...
Quelques instants plus tard, alors que les étoiles scintillaient de nouveau et que la lune reprenait sa place au-dessus de la montagne, Gotelind vit que l'église, avec toutes ses splendeurs, avait disparu, ... et qu'un rocher froid et nu, à la silhouette surprenante, venait de surgir au même endroit.
Au fond d'elle-même soulagée, elle retourna, à l'aube, chez les siens.
mardi 30 juin 2009
Premièrement, l'esprit conscient. C'est sans aucun doute la partie de votre esprit avec laquelle vous êtes le plus familier car c'est la pointe de l'iceberg, la partie visible et tangible. En effet, c'est avec l'esprit conscient que vous prenez des décisions, que vous analysez logiquement une situation, que vous parlez, que vous écoutez, que vous lisez, que vous comptez. Bref, vous l'utilisez pour tout ce qui vous demande de penser rationnellement pour agir.
Très utile pour traiter des données, l'esprit conscient peut toutefois nous imposer des limites physiques et mentales souvent inutiles car il est excessivement critique et incrédule. Lorsque votre esprit conscient souffre de blocages psychologiques ou de limitations, il peut être avantageux de le contourner pour aller programmer directement votre subconscient.
Deuxièmement, l'esprit subconscient. Malheureusement, trop peu de gens le connaissent puisqu'il constitue la portion immergée de l'iceberg, la partie de votre esprit qui travaille sans que vous vous en aperceviez. Il occupe une place neuf fois plus grande que le conscient dans le fonctionnement de notre corps et dans la réalisation de nos objectifs. Pour tout dire, c'est le subconscient qui gère toutes les actions (bénéfiques ou non) que nous posons sans avoir à y penser : faire battre le coeur au rythme approprié à l'activité en cour ; guérir une blessure ; conduire une voiture en pensant à autre chose ; vous envoyer le signal de la faim ; fumer par habitude ; devenir stressé devant une foule ; avoir peur des reptiles; etc.